Stratégie de victoire
Le Président azerbaïdjanais : Nous ne devons pas nous défendre, mais attaquer politiquement, en termes de propagande
Une guerre patriotique de 44 jours et la grande Victoire...! Cette victoire constitue la page la plus brillante de l'histoire de l'Azerbaïdjan indépendant. L'Azerbaïdjan est venu colline par colline vers la victoire au Karabagh, a surmonté toutes les peines et les obstacles. L'armée azerbaïdjanaise l'a fait sous le commandement du Président Ilham Aliyev, Commandant suprême des armées. L'Histoire elle-même témoignera de l'ampleur du combat accompli pendant ces 44 jours pleins de fierté et d'honneur.

Dès le premier jour de son élection à la tête du pays, le Président azerbaïdjanais avait fait une priorité de libération du Karabagh occupé par l'Arménie. En octobre 2003, dès le moment où il a prêté serment en tant que Président, il a proclamé l'importance de la libération inconditionnelle des terres azerbaïdjanaises.

Bien que le chemin de la Victoire de cette guerre patriotique ait pris 44 jours, derrière cette Victoire s'est tenue la lutte du Président pendant des années sans lassitude, avec patience et persévérance. Telle était l'essence de ses discours dans toutes les réunions, tant au pays qu'à l'étranger dans les forums internationaux. A chaque fois, le Président a montré que sa position restait inchangée. Il y a exactement 18 ans que les paroles et les promesses sont restées inaltérables jusqu'au bout: Le Karabagh doit être rendu à la Patrie !
L'Azerbaïdjan n'acceptera jamais l'occupation de ses terres. Chacun doit savoir que malgré le fait que nous soyons favorables à la paix, que nous ne souhaitions pas la reprise des hostilités et que nous appelions à la résolution négociée et pacifique de cette question, notre patience n'est pas inépuisable. L'Azerbaïdjan libérera à tout prix ses terres occupées.
Discours à la cérémonie d'investiture, le 31 octobre 2003
Le président était bien conscient que pour résoudre ce problème, il fallait tout d'abord changer l'approche de l'arène internationale face aux événements du Karabakh, prouver qui est du côté du droit international et le documenter. Le président Ilham Aliyev a soulevé cette question lors de l'une de ses premières visites à l'étranger en tant que chef de l'État.
À la suite de cette occupation, plus d'un million d'Azerbaïdjanais sont devenus réfugiés et personnes déplacées internes. L'agression de l'Arménie est reflétée dans quatre résolutions de l'ONU, selon la déclaration du Groupe de Minsk de l'OSCE. La communauté internationale devrait contraindre l'Arménie à se retirer des territoires azerbaïdjanais occupés.
Sommet mondial sur la société de l'information à Genève, le 10 décembre 2003
Il faut comprendre que nous n'accepterons jamais l'indépendance du Karabagh ou son annexion à l'Arménie

Entretien au journal Le Figaro, le 22 janvier 2004
Il y a 17 ans, le chef de l'Etat avait clairement le sentiment que l'Arménie allait subir un fiasco. En disant cela ouvertement, il a essayé d'exhorter le voisin à prendre le bon chemin. En d'autres termes, vous serez du côté des perdants, alors que nous ne ferons qu'avancer.
"Il semble que la position de l'Arménie soit plus favorable. Mais en fait, ce n'est pas le cas. Si nous comparons l'Arménie et l'Azerbaïdjan aujourd'hui, tout le monde peut voir la différence. L'Azerbaïdjan est un pays complètement indépendant. Il n'y a pas de bases militaires étrangères sur son territoire. Il ne dépend pas de l'aide étrangère. L'Azerbaïdjan développe son économie. Notre budget a atteint un niveau trois fois supérieur à celui de l'Arménie. Compte tenu de sa position géographique et stratégique et du développement du secteur pétrolier dans le pays, l'Azerbaïdjan deviendra bientôt un pays très fort. Si on regarde l'Arménie, on voit que ce qu'on dit ne reflète pas la réalité"

Entretien au journal français Le Figaro, le 22 janvier 2004
La position de l'Azerbaïdjan est équitable, le temps joue en notre faveur et le droit international est de notre côté. Plus tôt l'autre partie le comprendra, mieux ce sera pour elle.

Réunion à l'Institut Français des Relations Internationales, le 23 janvier 2004
Même lorsque le président a fait les premiers pas vers l'objectif, il avait déjà des plans clairs sur ce
qu'il fallait faire. L'engagement pris auprès du Conseil de l'Europe de
ne pas faire la guerre n'a pu l'empêcher.

Entretien avec des journalistes à l'Aéroport international de Biné, le 1er mars 2004
Il y a un engagement, et cet engagement a été pris par les gouvernements d'Azerbaïdjan et d'Arménie, ainsi que par tous les partis politiques opérant dans ces pays. C'est vrai et c'était une condition de l'adhésion de nos pays au Conseil de l'Europe.
Telle est notre position, et nous avons déclaré à plusieurs reprises que nous avons l'intention de résoudre la question de manière pacifique. Mais, bien sûr, il doit y avoir une certaine durée. En d'autres termes, nous ne voudrions pas que ce processus dure éternellement. Il y a une limite à chaque négociation.


Entretien avec des journalistes à l'aéroport international de Bina, 1er mars 2004
Au cours de ces années, il y avait beaucoup de pression sur la Turquie pour ouvrir la frontière avec l'Arménie. A cette époque, le pays frère de l'Azerbaïdjan l'a résolument empêché.
Lorsque j'étais Premier ministre, j'en ai parlé avec M. Erdogan à Ankara. Le Premier ministre Erdogan m'a assuré que la Turquie n'ouvrirait jamais ses frontières avec l'Arménie tant que le conflit du Haut-Karabagh n'aurait pas été résolu.

Pour moi, c'est satisfaisant. Si j'ai entendu ce mot, je n'ai pas besoin d'autre explication.


Entretien aux journalistes à l'aéroport Heydar Aliyev, le 24 mars 2004
Lorsqu'il a entamé les négociations avec l'Arménie en tant que chef de l'État, le président Ilham Aliyev a exigé que des mesures soient prises pour obtenir des résultats.
Les négociations ne peuvent avoir lieu que sur un sujet convenu. S'il n'y a pas de sujet de négociations, nous n'avons pas l'intention de faire croire que nous menons des pourparlers. Si l'Azerbaïdjan voit que le processus de négociation n'est pas nécessaire, nous devrons probablement reconsidérer cette politique.

Discours à la réunion de la session de printemps de l'APCE, le 29 avril 2004
Le Karabagh, c'est l'Azerbaïdjan ! Le président a prononcé cette phrase il y a exactement 17 ans... Il l'a prononcé sur la scène internationale et donné un message clair à l'Arménie et à ses protecteurs.
La position de l'Azerbaïdjan est claire et a été maintes fois affirmée. Si vous n'avez pas encore eu l'occasion de prendre connaissance de ces déclarations, permettez-moi de vous le rappeler : le Haut-Karabagh est le territoire de l'Azerbaïdjan. L'Azerbaïdjan n'acceptera jamais l'indépendance du Haut-Karabagh ou de faire partie de l'Arménie. Le Haut-Karabagh appartient à l'Azerbaïdjan.

Conférence de presse au Palais de l'Europe, Strasbourg, le 29 avril 2004
Le président a toujours gardé à l'esprit l'option de la guerre sans renoncer aux pourparlers de paix. Il savait que l'Arménie ne se retirerait pas de l'occupation de toute façon. Dès les premiers jours de sa présidence, la construction d'une armée moderne s'est accélérée.
Les dépenses de l'armée vont augmenter et nous devons renforcer davantage la base matérielle et technique de notre armée. Nous avons la possibilité de faire tout cela

Parfois, on dit qu'il devrait y avoir un compromis sur cette question. Dans ce cas, il ne peut y avoir de compromis sur le conflit foncier. Plus tôt l'autre partie le comprendra, mieux ce sera pour elle.


Rencontre avec des militaires à Gandja, le 18 juin 2004

Il y a 17 ans, le président considérait la solidarité du peuple comme le facteur le plus important de la victoire, en cas de guerre. Nous avons vu à quel point cela était important pendant la Guerre patriotique.
Pour ce faire, plusieurs facteurs sont nécessaires, et l'Azerbaïdjan possède presque tous. L'esprit patriotique est à un niveau très élevé. Je veux que notre jeune génération soit éduquée dans cet esprit. Le patriotisme national règne en Azerbaïdjan.

Rencontre avec des déplacés internes installés dans la région de Berdé, le 11 septembre 2004

Le président rencontrait fréquemment des personnes déplacées de leurs terres natales et ordonnait de construire de nouvelles maisons et de nouveaux bâtiments pour améliorer leurs conditions de vie. Dans le même temps, le chef de l'État était sûr que les territoires seraient libérés et que les personnes déplacées retourneraient dans leurs foyers. Le président le disait à chaque rencontre avec beaucoup d'espoir et de confiance!
Je n'ai aucun doute que le problème le plus difficile - l'occupation des territoires azerbaïdjanais par l'Arménie - prendra fin, et nous résoudrons ce problème de manière positive. Le peuple azerbaïdjanais est solidaire et résoudra ce problème. Vous retournerez dans vos terres natales, je viendrai et serai avec vous.

Rencontre avec des déplacés internes installés dans la région de Berdé, le 11 septembre 2004
Les questions essentielles, les grands travaux essentiels commenceront après la libération de nos terres de l'occupation. Comme je viens de le mentionner, toutes les infrastructures ont été détruites dans tous les territoires occupés. Nous construirons de nouvelles villes, créerons de nouveaux bourgs et villages, et nous devons être prêts pour cela. Nous savons aussi que nous ne pouvons compter que sur notre propre force, uniquement sur notre propre force.

La région d'Aghdam, le 18 janvier 2007

Le président azerbaïdjanais ne cessait pas de penser à Choucha. Dans la plupart de ses discours, il a dit qu'on devrait libérer Choucha et y retourner. La plupart des gens avaient peut-être perdu leur espoir, tandis que le président en était convaincu et y croyait. Le chef de l'Etat a également souligné à maintes reprises que le Zenguézour est la terre historique de l'Azerbaïdjan.
Je tenu ma parole et je la tiendrai. En bref, les 7 régions doivent être restituées sans réserve et, en même temps, les Azerbaïdjanais doivent retourner au Haut-Karabagh, y compris à Choucha.

Inauguration d'un nouveau bourg construit pour les déplacés internes dans l'arrondissement de Sabountchou à Bakou, le 4 mai 2007

Tout le monde sait que l'Arménie d'aujourd'hui a été créée sur les terres historiques de l'Azerbaïdjan. Le Khanat d'Irevan, le district du Zenguézour, ce sont les terres azerbaïdjanaises.

Région de Goranboy, le 20 novembre 2009

L'Arménie commettait des provocations de plus en plus ouvertes pour perturber les négociations, ce qui a conduit dans de nombreux cas à des affrontements sur la ligne de contact. Tout le monde se souvient de la phrase « Tirez, mon commandant ! ». Un hélicoptère militaire arménien avait été abattu pour la première fois depuis la Première guerre du Karabagh. Ensuite vient la guerre d'avril 2016… L'Azerbaïdjan a montré à quel point il était fort à l'époque.
Moins de deux semaines après la réunion de Paris, lors de laquelle nous avons convenu de réduire les tensions sur la ligne de contact, l'Arménie a organisé, selon leurs propres informations, des exercices de grande envergure dans la région d'Aghdam occupée, avec la participation de 47 000 militaires. Ce n'était pas nécessaire. Il s'agissait d'une provocation évidente visant à perturber le processus de négociation. Nous avons fait preuve de retenue pendant plusieurs jours et avons ordonné de ne pas réagir à cette provocation. Car nous pensions que les tensions devaient être réduites. Mais, la partie arménienne a tenté d'attaquer nos positions avec des hélicoptères de combat MI-24, dont l'un a été abattu à la suite de notre intervention.

Interview à la chaîne de télévision Rossiya-24, le 3 mai 2015
Nous nous battons sur notre propre territoire. Si le soldat arménien ne veut pas mourir, il doit se retirer du territoire azerbaïdjanais.

Réunion du Conseil de sécurité, le 2 avril 2016
«Le Karabagh, c'est l'Azerbaïdjan et un point d'exclamation »... Cette phrase du président a été gravée dans les mémoires dans tout le pays. C'est aussi devenu le slogan de la guerre pour la libération du Karabagh. En scandant « Le Karabagh, c'est l'Azerbaïdjan ! », nos soldats héroïques se sont lancés dans un combat à mort!
La déclaration signifie littéralement : « Le Karabagh, c'est une partie de l'Arménie et un point ». Tout d'abord, c'est un mensonge. Le Bas-Karabagh et le Haut-Karabagh sont tous les deux reconnus par le monde comme partie intégrante de l'Azerbaïdjan. L'Arménie elle-même ne reconnaît pas ce régime illégal. Le Karabagh est une terre historique de l'Azerbaïdjan. Donc, le Karabagh, c'est l'Azerbaïdjan et un point d'exclamation.

La 16e réunion annuelle du Club Valdaï, Forum international discussions, à Sotchi, le 3 octobre 2019

Ils pensaient que nous allions nous réconcilier avec cette insulte. Ils nous provoquent délibérément et ils en verront les conséquences amères.

Nous sommes sur la bonne voie. Notre cause est celle de la justice. Nous allons gagner ! Le Karabagh est à nous, le Karabagh, c'est l'Azerbaïdjan!

Adresse à la nation, le 27 septembre 2020
Chaque centimètre des territoires occupés, chaque ville nous est chère. Pour moi, la valeur de chaque village est la même, comparée à l'autre village, à l'autre ville. Mais vous savez que Choucha occupe une place particulière dans le cœur du peuple azerbaïdjanais. C'est notre ville historique, un ancien centre de culture. Choucha a donné au peuple azerbaïdjanais de nombreux talents et génies. Evidemment, sans Choucha, notre travail serait incomplet.

Entretien à la chaîne de télévision turque A Haber, le 16 octobre 2020
Donner cette bonne nouvelle au peuple azerbaïdjanais en ce jour historique est peut-être l'un des jours les plus heureux de ma vie.
Chère Choucha, tu es libérée ! Chère Choucha, nous sommes retournés ! Chère Choucha, nous te donnerons un nouveau souffle ! Choucha est à nous ! Le Karabagh est à nous ! Le Karabagh, c'est l'Azerbaïdjan!


L'adresse au peuple azerbaïdjanais dans l'Allée des Martyrs, le 8 novembre 2020
Aujourd'hui, j'ai visité également la tombe du leader national Heydar Aliyev. Je me suis dit que je suis heureux d'avoir accompli le dernier vœu de mon père. Nous avons libéré Choucha ! C'est une grande victoire ! Les âmes de nos martyrs, du leader national, sont enchantées aujourd'hui ! Félicitations à l'Azerbaïdjan ! Félicitations aux Azerbaïdjanais du monde!


Adresse au peuple azerbaïdjanais dans l'Allée des Martyrs, le 8 novembre 2020
L'année 2020 a été inoubliable pour l'Azerbaïdjan. Ce jour historique qui semblait être un rêve pour tout le monde est arrivé ! Dirigée par le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev, Commandant suprême des armées, l'armée azerbaïdjanaise a libéré nos villes et villages un par un. Ce que le président avait dit il y a des années s'est réalisé un par un. Un bref regard sur l'histoire récente montre que cette victoire est un plan stratégique du président Ilham Aliyev !

Le Commandant suprême des armées, ayant créé l'armée la plus puissante du XXIe siècle, a remporté la Grande victoire !
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